La rue de Port-au-Prince, de salon à cimetière du peuple – AZ-INFOS
« Par les lois de la nature, tout naît, tout vit, tout périt. Le palmier perd sa verdure; le citronnier perd son fruit, l’homme vit pour cesser d’être; mais dans la postérité ne devait-il pas renaître, s’il aimait la liberté? », des mots exquis justement tirés du mastodonte de texte d’Antoine Dupré intitulé « Hymne à la liberté« . Ceci, pour toucher l’immense plaie
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