La passe à dix entre Ariel Henry et alliés, Haïti toujours dans son impasse mortelle – AZ-INFOS

Le peuple haïtien porte le pesant fardeau de l’incompétence de ses dirigeants salauds. Jour après jour, la situation ne fait qu’empirer sous les yeux vagues et passifs de ceux-là qui se disent « dirigeants ». Des voix se lèvent un peu partout, mais toujours trop faibles pour troubler le doux sommeil de l’actuel tout-puissant haitien, pardon premier ministre haïtien, Ariel Henry et ses chiens de garde.
Ces derniers temps, on assiste à une montée vertigineuse du prix des produits de première nécessité. Selon plus d’un, c’est pour la première qu’ils aient vécu chose pareille. Le prix d’aujourd’hui peut être doublé, triplé et même quadruplé demain. Oui, c’est possible en Haïti.
En outre, la question de rareté de carburant se fait monnaie courante dans le pays depuis l’avènement des imposteurs du Parti Haïtien Tèt Kale (PHTK) au Pouvoir. Selon les économistes, étant un produit transversal, la rareté de carburant entraîne non seulement l’augmentation de son prix, mais également agit considérablement sur le prix des autres produits. Aujourd’hui, il est plus facile d’acheter l’essence en récipient à des prix exorbitants dans les rues que dans des stations de service. Cependant, comme un aveugle abandonné sur grand rue, Ariel Henry semble n’être aucunement touché de la situation.
Pis est, ses vieux alliés notamment des barons du PHTK et des manitous du secteur anciennement dit démocratique sont frappés d’un vent de silence. Leur bouche est certainement remplie, on ne parle pas la bouche pleine, dit-on. Peut-être recommenceront-ils à chanter comme le vieux coq matinal lorsque la tétine juteuse de la maigre vache ne sera plus à la portée de leur bouche.
Par ailleurs, les conditions de sécurité continuent à dégrader au quotidien. Des citoyens tués, brûlés vifs et oui, c’est le sale spectacle qui prend de plus en plus place dans la société haïtienne. Le cas de l’ancien sénateur, Yvon Buissereth et récemment celui des huit personnes à Cité Doudoune, Croix-des-Bouquets, choquent et révoltent. Mais jusqu’à présent rien n’est fait pour traquer les auteurs de ces actes crapuleux.
Pourtant, le premier ministre a le courage de reprendre la vieille et fade chanson de ses prédécesseurs : « Je déplore… » et ça s’arrête là. Ainsi va la république. Des gangs armés imposent leur loi un peu partout dans le pays, ils disposent de droit de vie et de mort sur tous les citoyens vivant sur ce territoire.
La situation se fait alarmante. Cris, pleurs, grincements de dents du peuple haïtien, mais les haut-gradés sont dans leur aise. Alors, comment nuire à leur paix lorsqu’ils décident manifestement de contribuer à la détérioration de la nôtre ?
À quand le vent de changement ? À quand prise en main du peuple haïtien de son destin ? À quand une réponse proportionnelle à ces énergumènes qui ne cessent de voler le rêve des jeunes déterminés dans le pays ? La roue continue à rouler pour les têtes de gondole du Pouvoir et de la Bourgeoisie, mais contre la massee qui ne sait toujours pas à quel saint se jouer.
La passe à dix sur la dévalorisation de la gourde, sur les produits pétroliers, sur le sang des citoyens assassinés, sur le prix élevé des produits, sur l’insécurité, sur la corruption…, entre Ariel Henry et alliés.
À quand la fin de l’invincibilité de l’équipe d’Ariel Henry et l’impasse mortelle du peuple haïtien ? Peut-être lorsque le peuple se sera réveillé de sa somnolence.
𝐶𝒉𝑟𝑖𝑠𝑚𝑎𝑛𝑛 𝐽𝑒𝑎𝑛-𝐽𝑎𝑐𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑇𝑂𝑈𝑆𝑆𝐴𝐼𝑁𝑇
Bon travail mon cher camarade,garde toujours le même!
Félicitations mon frère ! Tu nous a fait voir avec profondeur la réalité… En ce qui a trait avec la façon nos dirigeants nous a traités comme peuple.